Dis'covid
DIS’COVID
J’ai commmencé ce projet au printemps 2021 dans le but de photographier des DJs parisiens de la nouvelle vague qui ont pour point commun d’avoir la disco dans leur sang, dans leur ADN. Amis ou connaissances, j’ai pu, grâce à leur confiance, entrer dans leur chez eux, leur intimité pour les photographier dans leur univers musical. En effet, nos intérieurs ayant pris une place importante dans nos vies depuis la crise du Covid, j’ai voulu justement en savoir plus sur leur processus créatif lors de la préparation d’un DJ Set ou lors de sessions de production musicale.
Le but de cette série est tout d’abord d’en apprendre plus sur des DJs que j’ai été amené à rencontrer à travers mon collectif de La Fessée Musicale mais également savoir comment ils ont vécu, ressenti et comment ils ont (ou pas) pu rebondir lors de cette crise du Covid qui a impacté particulièrement le monde de la musique et de la nuit.
Encore actuellement en pleine phase de questionnement, Victtoria s’est posé beaucoup de questions depuis un an, notamment sur le rapport à son travail et la place de la musique dans sa vie.
Baz, en pleine répétition avant sa matinale chez Sacré Radio : Le “Baz Morning Show”
En pleine session vinyles, Maxye me révéla cette après-midi là son amour pour la Bretagne et l’ile D’Ouessant où elle a passé une bonne partie de son enfance (et du confinement).
En témoigne ce livre à la couverture iodée.
Après plusieurs mois à économiser, Victtoria a profité du temps libre disponible pendant le Covid pour s’équiper en platines et continuer sa progression de DJ.
On écoute dans l’appartement d’Ara quelques 45 Tours, héritage de sa grande tante, avec ce beau lecteur de vinyles vintage.
Joe Lewandowski en pleine session de production dans son appartement du XIXeme arrondissement.
Maxye, patiente et calme, attend doucement la reprise des festivités.
Victtoria, la part d’ombre sur une personnalité pleine de soleil.
Un peu de chez Baz … Sa volonté ancienne d’être acteur à travers le théâtre, sa passion pour le (bon) Gin et surtout l’auto-dérision.
Joe Lewandowski, en pleine reflexion, règne en prince de son quartier.
Un bain de soleil et de sérénité dans le XIXeme arrondissement qu’il chérit tant !
Les différents confinements ont permis à Ara de concrétiser un projet qui mûrissait depuis un moment dans sa tête : comment mettre en avant concrètement les femmes dans la musique électronique ? La réponse porte le nom de Connect’Her…
Session de piano privée par Maxye. Une volonté récente de reprendre des cours et d’utiliser sa technique pour se mettre à la production musicale.
Après un passage à Singapour, où elle organisera quelques soirées house , elle rentre à Paris et décide de mixer sous l’alias d’Ara à travers le collectif Bande de Filles (Naajet Spaciale & Leleon).
Baz, c’est avant tout un personnage, assumé. Un masque qui tombe dès qu’il passe la porte de chez lui.
